Pour le premier ministre Stephen Harper, l'attaque devrait rappeler aux députés à quel point les talibans sont dangereux et qu'il pourraient s'introduire dans leurs demeures la nuit pour enlever leur femmes et leur enfants, s'ils ne votaient pas en faveur d'une augmentation des effectifs militaires au moyen orient. De son côté, Les ministre de la Défense, Peter MacKay, ne blâme pas les autorités militaires en place. Selon lui, la sécurité minimale présente lors de l'attaque était justifiée par le fait que seul 400 des 1000 prisonniers étaient des talibans, les 600 autres n'étant que d'inoffensifs civils.
Pour sa part, l'opposition libérale a accusé les conservateurs d'avoir volontairement laisser les prisonnier s'échapper pour justifier la présence militaire Canadienne en Afganistan, vu la sévère pénurie de réels criminels de guerre qui sévit depuis 2005.
Un soldat Canadien en fonction à la prison de Kandahar
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